Jusqu’au 6 mars et la réception du Real Madrid, Unai Emery va devoir gérer un vestiaire où une partie des cadres semble remontée contre lui.
En laissant Thiago Motta à la maison, Thiago Silva et Angel Di Maria sur le banc, puis en remplaçant Edinson Cavani après une heure de jeu, Unai Emery a voulu montrer, mercredi, à Madrid, qu’il était le patron du domaine sportif au Paris Saint-Germain. Son équipe s’imposait, et lui jouait sur du velours. Les choses tournaient mal, et les jours suivants s’annonceraient tendus du côté du Camp des Loges. Après cette défaite (1-3) et les circonstances qui l’ont expliquée, il se peut, en effet, que les décisions de l’entraîneur parisien dessinent une fissure un peu plus marquée avec une grande partie des cadres de son vestiaire.
L EQUIPE
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